Travail corporel hier et aujourd’hui

5 avril 2020 par Dirk Marivoet

Myofascial bodywork with Dirk Marivoet


Le travail corporel est un terme collectif pour diverses techniques, anciennes et modernes, qui utilisent des leçons de mouvement, la rééducation posturale, des exercices, des massages et d’autres formes de manipulation thérapeutique. L’objectif principal est de promouvoir la relaxation corporelle et de soutenir la santé et la récupération.

Dirk Marivoet


1. La Grèce antique : Corps et esprit à l’époque d’Homère

Mycènes, Pylos et Cnossos avaient disparu. Une grande époque s’était achevée. La langue des tablettes d’argile s’était tue, et l’écriture avait été oubliée ou rejetée comme inutile dans une société qui n’avait plus besoin d’une administration détaillée de grands empires. C’est à cette époque que le poète aveugle Homère (10e siècle av. J.-C. ?) composa l’Iliade et l’Odyssée.

Les épopées homériques, probablement issues de traditions orales anciennes de sagas et de chants, figurent parmi les plus grandes réalisations de la littérature mondiale. Elles constituent la première preuve convaincante du génie créatif des Grecs.

L’Iliade et l’Odyssée sont le fruit d’une époque naïve, marquée par des instincts primaires et des passions débridées. Les personnages de ces récits pleuraient aussi facilement qu’ils riaient. Les larmes coulaient autant de colère et de tristesse que de joie et de bonheur.

L’Iliade dépeint avec force les affrontements violents de la guerre. Ni le poète ni son public ne reculaient devant les détails macabres : la tête tranchée d’un héros pouvait voler comme une balle à travers le chaos de la bataille, tandis que le vainqueur embrochait son ennemi défait sur une lance, l’élevant comme un pêcheur exhibe sa prise. À cette époque, le conflit entre la raison et l’émotion n’était pas central.

Le mot psyché, à cette époque, désignait encore des aspects vitaux du corps, comme la respiration et le sang, et non la conscience telle que nous la comprenons aujourd’hui. C’est à l’époque d’Homère que le panthéon grec commença à prendre la forme que nous connaissons maintenant. Comme l’a remarqué Hérodote : « Ce sont Homère et Hésiode qui ont donné aux Grecs leur théologie. »

2. Olympie et les Jeux Olympiques (776 av. J.-C. – 393 apr. J.-C.)

Plus que tout autre peuple, les anciens Grecs vivaient selon la maxime : « Un esprit sain dans un corps sain. » Pour eux, un corps négligé était aussi clairement un signe de manque d’éducation et de culture que l’ignorance des matières académiques.

Lucien de Samosate (2e siècle apr. J.-C.) écrivait dans un dialogue satirique entre un Scythe (« un barbare ») et Solon :

« Le corps d’un homme courageux ne doit pas être gras et pâle comme celui d’une femme, devenu pâle à force de rester à l’intérieur. Regardez nos jeunes bronzés par le soleil ! Ils ressemblent à ce qu’un homme doit être : pleins de vie, de chaleur et de force masculine, rayonnants de santé, ni ridés ni flétris, ni trop lourds, ayant éliminé toute graisse superflue et conservant seulement ce qui est ferme et fort. Ceci est le résultat du régime alimentaire et de la gymnastique, qui sont pour le corps humain ce que le van est pour le grain : toute la paille s’envole, laissant un tas de grains purs. »

Le sport avait également une valeur sociale. Lucien observait :

« On ne s’entraîne pas uniquement pour gagner des prix lors des festivals — seuls quelques-uns y parviennent — mais pour obtenir un plus grand bien, pour soi-même et pour l’État. Les bons citoyens doivent participer à une compétition bien plus importante : la lutte pour la liberté individuelle et l’indépendance et la prospérité de toute la patrie. »

Lucien soulignait également la valeur esthétique de la gymnastique :

« Comme les jeunes hommes doivent se déshabiller devant un grand public, ils s’efforceront d’obtenir une belle apparence, afin de ne pas avoir honte de se produire nus. » Cela montre comment la gymnastique inspirait l’art, les sculpteurs et les peintres utilisant toujours les plus beaux corps comme modèles.

L’Iliade décrit les jeux funéraires organisés en l’honneur des héros tombés, comme ceux qu’Achille organisa pour Patrocle. Les Jeux Olympiques antiques, les plus célèbres de tous, attiraient des centaines de milliers de spectateurs à Olympie pour assister à des épreuves telles que la course, la lutte, le pentathlon et les courses de chars. Des statues étaient érigées en l’honneur des vainqueurs, soulignant la place centrale du corps dans la culture grecque.


3. L’âge d’or de la science : Hippocrate, père de la médecine

Hippocrate (460–377 av. J.-C.), contemporain de Socrate et de Platon, est considéré comme le père de la médecine. Homme compatissant, il n’oubliait jamais la personne souffrante derrière la maladie. Il se concentrait sur le renforcement de tout l’organisme, lui donnant la force de combattre et de surmonter la maladie.

Hippocrate avait une grande foi dans le pouvoir naturel de guérison du corps. Il estimait que la tâche du médecin était de soutenir la nature dans sa lutte contre la maladie. Comme il l’a dit : « Parfois, il est préférable de ne rien faire du tout. »

Il décrivait quatre tempéraments — flegmatique, sanguin, colérique et mélancolique — liés aux quatre humeurs : phlegme, sang, bile jaune et bile noire. Il recommandait diverses méthodes pour maintenir ou rétablir l’équilibre, telles que :

  • Ponos : effort général et travail.
  • Gymnasion : exercices systématiques.
  • Bains et massages avec des huiles et des onguents.
  • Une alimentation équilibrée.

Il soulignait l’importance de la modération, conformément au principe du panta metra (tout avec modération).


4. Les Romains

Les idées d’Hippocrate furent reprises et développées dans la culture romaine. Galien de Pergame (129–199 apr. J.-C.) s’inspira des principes hippocratiques, mais proposa des directives plus détaillées et structurées pour les pratiques médicales et thérapeutiques. Ses contributions incluaient :

  • Massage : à appliquer avant et après l’effort physique pour stimuler la circulation et éviter les obstructions.
  • Entraînement progressif : des exercices légers aux plus intensifs.
  • Exercices passifs : pour les personnes à mobilité réduite.

L’efficacité romaine apporta une approche pratique au travail corporel, mettant l’accent sur la discipline et la structure.


5. Le Moyen Âge

Le Moyen Âge est souvent associé aux châteaux, cathédrales, chevaliers et guerres constantes. Cependant, concernant le travail corporel, peu de documents existent entre l’époque romaine et les débuts du Moyen Âge.

Une exception notable est le travail de Guy de Chauliac (1363), qui décrivit des méthodes combinant le travail corporel avec des traitements chirurgicaux. Cependant, sous l’influence de l’Église, des pratiques comme le massage furent souvent interdites, considérées comme suspectes, tandis que les gens étaient encouragés à se concentrer sur la prière.

Paracelse, médecin visionnaire de la fin du Moyen Âge, fut parmi les rares à reconnaître l’importance du travail corporel, le qualifiant d’essentiel pour la guérison.


6. La Renaissance (XVIe siècle)

Au cours de la Renaissance, le travail corporel fut redécouvert. Hieronymus Mercurialis (1530–1606) décrivit dans son ouvrage De Arte Gymnastica une forme de gymnastique spécialisée pour les malades et les personnes âgées. Bien que ses principes reposent encore sur les idées d’Hippocrate, il élargit leur application à de nouveaux groupes de patients.

Ambroise Paré, père de la chirurgie moderne, utilisa le massage pour traiter les patients incapables de faire des exercices physiques. Andry, quant à lui, observa les effets du frottement sur la circulation sanguine et le teint, ce qui le poussa à promouvoir le massage pour améliorer la circulation et la santé globale.


7. Le XVIIe siècle

Le XVIIe siècle marqua un tournant scientifique avec des recherches sur l’effet des forces physiques sur le corps humain. Inspiré par des pionniers comme Vésale et William Harvey (qui découvrit la circulation sanguine en 1628), cette époque vit un intérêt renouvelé pour les thérapies mécaniques et leur rôle dans la santé.


8. Le XVIIIe siècle : Le siècle des Lumières

Les Lumières apportèrent des progrès dans de nombreux domaines, y compris les thérapies physiques. Des chercheurs comme Hoffman (1668–1738) étudièrent la composition des bains minéraux et leurs effets sur le corps.

En Suède, Per Henrik Ling (1776–1839) voyagea jusqu’en Chine pour y apprendre des techniques de massage complexes. Ayant guéri son propre rhumatisme grâce à ces méthodes, il élabora un système scientifique de massage thérapeutique appelé le « système Ling » ou massage suédois. Ling fonda également l’Institut Central Royal de Gymnastique à Stockholm pour former des praticiens.

En France, Tissot (1747–1825), reconnu comme le père de la gymnastique médicale (gymnastique médicale), introduisit des activités comme l’escrime, l’équitation et la danse pour réhabiliter les patients en convalescence. Il mit aussi l’accent sur l’importance des massages. Piorry, en 1818, fut le premier à étudier les effets physiologiques du massage, en documentant les réactions sur la peau, les muscles et les articulations. Il introduisit le terme de « tapotement » pour décrire certaines techniques spécifiques.

En Angleterre, John Grosvenor (1742–1823), un chirurgien respecté, fit la promotion du massage manuel par friction, affirmant que cette technique pouvait soulager les articulations raides et d’autres maux. Son travail posa les bases de l’intérêt croissant pour le massage dans le monde médical.

En Allemagne, les idées d’Hippocrate furent revisitées sous une interprétation nationaliste. Cela conduisit à l’émergence de termes comme Übungen, Krankengymnastik et Heilgymnastik, qui formèrent la base de la physiothérapie moderne en Allemagne.

En Suède, Gustav Zander (1835–1920) développa une série d’appareils d’exercices mécaniques équipés de poulies et de poids, permettant aux individus de travailler sur leur santé de manière autonome. Ces machines furent un précurseur des équipements modernes de fitness.

Aux Pays-Bas, le massage gagna en importance grâce à Johan Mezger (1838–1909), qui se présenta comme médecin-masseur. Mezger acquit une renommée internationale en tant que praticien ayant « le pouvoir de guérir par les mains ». Il contribua à élever le massage au rang de pratique médicale reconnue.

Enfin, en France, Lucas-Chamionnière joua un rôle clé dans l’intégration du massage au domaine médical français vers 1880, en plaidant pour son utilisation dans les traitements cliniques.

9. La Vingtième Siècle

En 1900, le dermatologue français Jacquet recommanda le massage pour le traitement de certaines affections cutanées. En 1907, il développa une technique de massage facial comprenant pincements, pétrissages et torsions, qu’il appela plus tard « massage plastique ». La thérapeute allemande Elizabeth Dicke révolutionna le domaine avec l’introduction du massage du tissu conjonctif, démontrant combien nos connaissances sur les effets du massage étaient encore limitées. Cornelius concentra ses travaux sur le traitement des zones réflexes et appela sa méthode « massage de contact ». En France, Wetterwald appliqua, dès 1910, des techniques semblables à celles de Cornelius, notamment pour le traitement des névralgies et de la cellulite.

Des innovateurs tels qu’Emil Vodder (drainage lymphatique manuel) et le Dr James H. Cyriax (massage par frictions transversales profondes) jouèrent également un rôle clé dans le développement du massage et des thérapies corporelles.

L’émergence de la thérapie par le mouvement

S’appuyant sur l’arte gymnastica, la gymnastique médicale développée par Per Henrik Ling, la thérapie par le mouvement fit son entrée dans les cliniques psychiatriques. Dans les années 1920, le psychiatre allemand Simon introduisit la « thérapie active » pour contrer la passivité des patients. En 1939, le terme « thérapie par le mouvement » fut officiellement utilisé lors d’un congrès de psychanalyse à Munich, où Heyer aborda son rôle comme soutien à la psychothérapie. Aux Pays-Bas, Kraus diffusa ces idées en utilisant le sport et le jeu pour réactiver les capacités restantes des patients.

Le travail corporel fonctionnel et expérientiel

Dans la seconde moitié du 20ᵉ siècle, diverses écoles de travail corporel émergèrent, chacune avec ses propres objectifs et méthodologies :

Le travail corporel fonctionnel, développé par Mabel Todd et perfectionné par Ida Rolf (Rolfing), mettait l’accent sur la structure anatomique et l’équilibre du corps. L’approche visait à améliorer la posture et les mouvements fonctionnels grâce à une manipulation approfondie des tissus conjonctifs.

Le travail corporel expérientiel, influencé par la psychologie phénoménologique, s’appuyait sur les travaux de Carl Rogers et Eugene Gendlin. Le concept de focusing de Gendlin soulignait la valeur des sensations corporelles comme source d’introspection et de transformation.

Thérapie par le mouvement axée sur les conflits et travail corporel émotionnel

La thérapie par le mouvement axée sur les conflits s’enracine dans les travaux de Wilhelm Reich, qui explora le lien entre posture corporelle, blocages émotionnels et conflits psychologiques. Les idées de Reich inspirèrent des thérapeutes comme Alexander Lowen (bioénergie), John Pierrakos et David Boadella (fondateur de la biosynthèse). Boadella intégra les principes reichiens à la psychologie, la physiologie et la spiritualité pour proposer une approche holistique.

Le travail corporel émotionnel, développé par Gerda Boyesen, se concentra sur la relation entre émotions et processus corporels tels que le péristaltisme. Cette méthode mit en lumière la manière dont les tensions accumulées dans le corps pouvaient être libérées par des manipulations douces.

Hilarion Petzold et la thérapie intégrative par le mouvement et le corps

Pionnier de la thérapie intégrative, Hilarion Petzold combina des perspectives issues de différentes disciplines, incluant la thérapie par le mouvement, la psychothérapie et le travail corporel. Son approche visait à reconnecter le corps, l’esprit et l’âme, tout en mettant l’accent sur la récupération de la vitalité et l’expression symbolique par le mouvement.

Autres contributions majeures

Des pionniers comme Moshe Feldenkrais (méthode Feldenkrais) et Thomas Hanna (éducation somatique) mirent l’accent sur la conscience corporelle et la rééducation du mouvement. Stanislav Grof développa la respiration holotropique, une technique destinée à la guérison émotionnelle et physique par une respiration intensive.

En psychothérapie orientée sur le corps, d’importants progrès furent réalisés. Fritz Perls et Laura Perls établirent la gestalt-thérapie, posant les bases d’une approche expérientielle où les sensations corporelles jouaient un rôle central.


Le vingtième siècle : une période de transformation

Le vingtième siècle fut marqué par une explosion d’innovations dans le domaine du travail corporel, allant du massage du tissu conjonctif aux thérapies expérientielles. Des pionniers tels que Wilhelm Reich, Ida Rolf et David Boadella approfondirent notre compréhension des connexions entre le corps, l’esprit et les émotions. Ces avancées constituèrent les fondements de l’acceptation croissante du travail corporel dans le domaine de la santé moderne.

10. Le XXIe Siècle

Dans ce siècle, nous pouvons rêver… Le travail corporel est devenu une partie intégrante de notre quête de bien-être. Il a évolué des traditions anciennes vers des thérapies modernes et continue de jouer un rôle essentiel, à la fois dans le domaine des soins de santé et du développement personnel. Dans un monde où le stress et l’isolement restent répandus, le travail corporel offre un pont vers un équilibre intérieur, une connexion et un bien-être global.

Avec les avancées technologiques, le travail corporel peut se développer davantage grâce à l’intégration de la biofeedback et des objets connectés, offrant une visibilité en temps réel sur les processus corporels. De nouvelles découvertes scientifiques, comme la neuroplasticité, mettent en lumière la relation dynamique entre le corps et l’esprit, ouvrant la voie à des thérapies innovantes. De plus, le travail corporel est de plus en plus accepté dans les soins de santé traditionnels, où il est reconnu comme une approche complémentaire aux traitements médicaux conventionnels. L’avenir offre des possibilités pour des approches encore plus personnalisées et basées sur la science, consolidant ainsi le rôle du travail corporel comme un élément essentiel des soins holistiques. Il joue un rôle crucial dans les soins de santé et le développement personnel, tout en offrant un contrepoids au stress de la vie moderne.

La musique, les sons de la nature, la gastronomie, les arts visuels et le massage stimulent les sens et favorisent l’équilibre. Là où le toucher et l’intimité existent, il n’y a pas de place pour la violence. Peut-être que le travail corporel offre une feuille de route pour un monde plus pacifique.



Réflexion


De la Grèce antique à l’ère moderne, le travail corporel a évolué en une pratique polyvalente qui intègre le corps, l’esprit et les émotions. Il continue de croître, nourri par de nouvelles perspectives et technologies, et prouve constamment sa valeur comme un élément essentiel de la santé et du bien-être.

References

  • Sources Historiques et Classiques :

1. Homère – L’Iliade et L’Odyssée (env. VIIIe siècle av. J.-C.).

2. Hérodote – Histoires (Ve siècle av. J.-C.).

3. Galien de Pergame – De Methodo Medendi (IIe siècle ap. J.-C.).

4. Hieronymus Mercurialis – De Arte Gymnastica (1569).

  • Pères Fondateurs Scientifiques :

5. Harvey, W. – De Motu Cordis (1628), sur la circulation du sang.

6. Mezger, J. – Sur l’art du massage (XIXe siècle).

7. Zander, G. – Thérapie mécanique : mouvements gymnastiques (1876).

  • Psychothérapie Centrée sur le Corps :

8. Reich, W. – L’analyse caractérielle (1933) et La fonction de l’orgasme (1942).

9. Lowen, A. – Bioénergétique (1975).

10. Boyesen, G. – Thérapie biodynamique (1975).

  • Contributions Modernes et Innovations :

11. Rolf, I. – Rolfing : L’intégration des structures humaines (1977).

12. Feldenkrais, M. – La conscience par le mouvement (1972).

13. Gendlin, E. – Focusing (1978).

14. Petzold, H. – Thérapie intégrative du mouvement (1985).

15. Boadella, D. – Biosynthèse : Corps et âme en thérapie (1987).

  • Technologie et Développements Scientifiques :etenschappelijke Ontwikkelingen:

16. Siegel, D. J. – L’esprit en développement : Comment les relations et le cerveau interagissent pour façonner notre être (1999).

17. van der Kolk, B. – Le Corps n’oublie rien : Cerveau, esprit et corps dans la guérison des traumatismes (2014).

18. Grof, S. – Respiration holotropique (2010).

  • Tendances et Applications Contemporaines :

19. Hanna, T. – Somatique : Réveiller le contrôle du mouvement, de la flexibilité et de la santé par l’esprit (1988).

20. Ogden, P. – La psychothérapie sensorimotrice : Interventions pour les traumatismes et l’attachement (2015).

21. Levine, P. – Réveiller le tigre : Guérir les traumatismes (1997).

  • Sources en Ligne Complémentaires :

1. Articles du Journal of Bodywork and Movement Therapies.

2. International Journal of Psychotherapy – Divers numéros consacrés aux thérapies centrées sur le corps.

3. Sites web d’organismes tels que l’International Association for Structural Integration (IASI) et l’European Association for Body Psychotherapy (EABP).

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A propos de l’auteur

Dirk Marivoet psychotherapist in Belgium

Dirk Marivoet, MSc, est un psychothérapeute certifié et accrédité au niveau européen (ECP) avec plus de 40 ans d’expérience dans le domaine de la thérapie intégrative et holistique. Il est également thérapeute psychomoteur et kinésithérapeute agréé (Université de Louvain) et le fondateur et directeur de l’International Institute for Bodymind Integration (IBI). En tant qu’enseignant international, il intervient dans plusieurs écoles de psychothérapie corporelle et divers programmes de formation à travers le monde.

Dirk est formateur et superviseur certifié en Postural Integration, Energetic Integration, Reichian Bodywork et Pelvic-Heart Integration (Jack Painter, PhD) ainsi que enseignant et superviseur en Core Energetics (John Pierrakos, MD). Il a également étudié en profondeur avec Al Pesso et intègre des approches polyvagales et informées sur le trauma dans son travail.

Fort de décennies de pratique et d’enseignement, Dirk a développé sa propre synthèse et méthode complète, Core Strokes, qu’il propose à l’international à travers des formations professionnelles, des ateliers et des sessions individuelles. Il est également conférencier sur ces sujets et bien d’autres et préside la Core Science Foundation.

Il est basé à Gand, Belgique.

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